Après une année passée à contenir, freiner, informer, comprendre ce qui nous arrivait avec cette pandémie, nous sommes aujourd’hui contraint de limiter nos pratiques, de faire attention à la santé de tous, accueillis, bénévoles, équipes. Ce virus met à mal nos pratiques souvent collectives et par définition à proscrire en période de pandémie mais en même temps nécessaire pour assurer aux plus précaires un minimum vital pour se laver, respirer, se reposer, s’alimenter…. Nous sommes sur la crête entre protéger et aider le plus grand nombre, entre ouvrir et fermer, entre accueillir et distancer pour apporter le nécessaire aux plus démunis tout en les préservant de ce virus si facile à attraper dans des lieux clos.
Ne soyez pas surpris de nos positions entre l’accueil et la distance, il faut protéger tout le monde et arbitrer entre le froid la solitude la maladie et les peurs de chacun.
